dimanche 27 janvier 2013

Mes instruments de torture ...et de plaisirs





Je vous présente mes deux vélos. Mes "sportoys". Il me donnent beaucoup de plaisirs, mais, comme dans une relation amoureuse, ils me font souvent souffrir. En fait, c'est moi qui, à l'insu de mon plein gré, accepte cette torture, que l'on appelle le sport.

Il y a dans la pratique sportive, en général, et dans le cyclisme, en particulier, une évidente forme de masochisme. C'est dur le vélo ! La preuve, certains se dopent, pour annihiler la douleur.

En fait, ça dépend des jours. Il y a des jours "avec", et des jours "sans". Et, pratiquement rien, au départ, n'indique que se sera idyllique ou galère.
 Les rendez-vous avec la meute d'enragés que forme les potes du Club,  ne se manquent pas... sauf si vous avez une bonne raison à faire valoir ! Par conséquent,  la plupart du temps, vous vous donnez un coup de pied au cul, pour y aller. Souvent salutaire, le coup de pied ! Et puis, comme tous les sports d'endurance, il se crée une addiction à l'effort.

Je n'oublie pas, ce qui est primordial, la relation humaine dans ce sport. De plus, ce loisir peut se pratiquer longtemps, jusqu à un âge avancé.

Sur la route ou sur les sentiers, soyons solidaires, et respectueux des autres usagers.




vendredi 25 janvier 2013

Un russe pop






                                                       Rinat Shingareev (autoportrait)

Un peintre talentueux, héritier des peintres Pop Art, notamment Andy WARHOL.

mercredi 2 mai 2012

1er mai




Merci à Olivier LASCAR

mercredi 18 avril 2012

Degas des Oh !







13 mars - 1 juillet 2012
Musée d'Orsay
Exposition temporaire

Cette exposition explore l'évolution de Degas dans la pratique du nu, de l'approche académique et historique de ses débuts à l'inscription du corps dans la modernité au cours de sa longue carrière. Occupant avec les danseuses et les chevaux une place prédominante dans l'oeuvre de l'artiste, les nus sont présentés à travers toutes les techniques pratiquées par Degas, la peinture, la sculpture, le dessin, l'estampe et surtout le pastel qu'il porte à son plus haut degré d'achèvement.

Première grande exposition monographique consacrée à Edgar Degas (1834-1917) à Paris depuis la rétrospective de 1988 au Grand Palais, Degas et le nu participe de l'ambition du musée d'Orsay de donner à voir l'avancée des connaissances sur les grands maîtres de la deuxième moitié du XIXe siècle.

mercredi 7 mars 2012

Laïcité et démocratie



"On peut avoir horreur de quoi que ce soit : minarets, clochers d’églises, blasons de franc maçons, tee shirts "Ni dieu ni maître" ...quand on n’est pas laïque et qu’on pense que sa propre philosophie est la seule valable, ce qui est stupide.Cela va très loin aujourd’hui quand on entre dans le débat politicien : des imbéciles considèrent que la France ne serait pas la même chose que l’ensemble des Français avec leurs différences, et qu’ainsi une gauche au pouvoir serait une usurpation. La démocratie ne connaît pas l’usurpation, les usurpateurs furent ceux qui prirent le pouvoir sans être élus par le peuple tout entier.Pour vivre ensemble différents il faut relativiser nos propres certitudes, et surtout ne jamais chercher à les imposer aux autres !"
C. BARRATIER

lundi 20 février 2012

Promesses et inégalités






Petite devinette, qui a dit ? :
« La moralisation du capitalisme financier demeure la priorité. Je n’hésite pas à dire que les modes de rémunération des dirigeants et des opérateurs doivent être encadrés. Il y a trop d’abus, trop de scandales. Alors ou bien les professionnels se mettent d’accord sur des pratiques acceptables, ou bien nous réglerons le problème par la loi avant la fin de l’année. »
Réponse :
Nicolas SARKOSY (discours de Toulon -sept 2008).

Et qu'apprend-on par la presse, que les patrons du CAC 40, perçoivent -c'est une moyenne - l'équivalent de 260 fois le SMIC, soit 342000 €... par mois.
Il est vrai qu'ils ne se sont augmentés , en 2011, que de 34 % !
Et vous, de combien avez vous été augmenté en 2011 ?

Où sont passées les promesses de pouvoir d'achat pour la France d'en-bas ?

Mais, oui, bien sûr, c'est la faute à la crise.